La frontière, le Système et le porno
20/09/2016 Dans cette grande entreprise d’abolition de l’Homme qui
définit notre contre-civilisation, la frontière est l’ennemi. Pas
seulement la frontière qui dessine les contours de la Nation, mais la
frontière au sens large, qui différencie le beau du laid, le bon du
mauvais, le bien du mal. La frontière aussi quand elle se fait membrane
autour des cellules, où se niche le plus intime de la Vie. La frontière
encore entre la chair et la technologie, entre l’homme et la machine.
Toutes ces frontières subissent les assauts haineux du Système
néolibéral dans sa volonté de tout niveler, de tout soumettre. Mais
c’est probablement la frontière entre les genres, en tant qu’ultime
verrou à l’atomisation complète de la société, qui subit l’attaque la
plus massive, la plus dévastatrice, la plus prometteuse en matière de
désintégration du corps social. Libération détournée de la
femme, théorie du genre, culture porno: ou comment il ne sera bientôt
plus possible aux hommes et aux femmes de s’aimer, pour le plus grand
profit du Marché. Petit essai.
D’une frontière à l’autre
Régis Debray a dit quelque chose de magnifique sur la frontière:
«La frontière n’est pas du tout
la fermeture angoissante. La frontière est une marque de modestie. Je ne
suis pas partout chez moi. Il y a une ligne au-delà de laquelle il y a
d’autres personnes que je reconnais comme autres.»
La sagesse de ces paroles nous semble faire sens pour la frontière sous
toutes ses formes. Car la frontière au sens large, loin d’être la
«fermeture angoissante» donc,
permet la richesse des cultures, permet de préserver la vie et
l’humanité dans leur diversité, permet la radicale et sublime séparation
des genres, et donc leur bouleversante conjugaison.
Mais vu du Marché, il est clair que toutes ces frontières sont surtout
des freins.
La frontière entre les nations d’abord, qui préserve les cultures, les
identités, le lien à la terre, le sentiment d’appartenance, freine
l’expansion du Marché, l’avènement de son gouvernement mondial des 1%;
ralentit les flux migratoires destinés à tout niveler, à commencer par
les revenus, et empêche l’avènement de cet homme nomade globalisé sans
racines ni histoire, tout occupé à consommer, à dé-penser.
La membrane des cellules aussi, comme frontière protectrice du
patrimoine génétique des espèces, freine l’invasion du Marché à
l’intérieur du Vivant, l’empêche de le manipuler et de le privatiser.
La frontière entre l’Homme et la Machine encore, freine l’ultime
infestation de la technologie dans la chair humaine qui doit
permettre aux apôtres hallucinés du transhumanisme (1)
de devenir Dieu, de vaincre la mort elle-même et de donner naissance à
leur Surhomme, googelisé et
connecté jusqu’au trognon, mais enfin libéré de sa pesante humanité.
Quant à la destruction de toutes frontières entre le bien et le mal, le
bon et le mauvais, le beau et le laid, elle dit l’essence profondément
malsaine du Système néolibéral, son amoralisme absolu, sa volonté
d’abolir toute référence, toute possibilité de jugement par un
relativisme radical qui vise à formater le corps social pour le
reconfigurer en un agglomérat de dociles consommateurs débarrassés de
toute volontés autres que celle de jouir d’eux-mêmes, pour eux-mêmes.
Séparer l’homme de la femme
Après ce préambule un peu bavard, venons-en donc au cœur du sujet,
c’est-à-dire à l’assaut du système diriger contre la frontière qui se
fait différence entre les genres, dualité des sexes, qui est peut-être
la plus importante de toutes.
La plus importante car c’est de cette frontière, de cette différence que
vient cette irrésistible attirance qui fait naître dans le cœur de
l’Homme l’amour, la bravoure, la grandeur d’âme, la générosité, l’envie
de beau et de bon, le désintéressement, le désir authentique et fécond,
le désir d’enfant et donc nécessairement le désir de Foi, à cause de
l’enfant justement dont on peut éventuellement se résoudre à concevoir
la fin, mais jamais la disparition.
C’est le noyau de la première Patrie, celle de la famille, à la fois
refuge et tremplin, sur laquelle s’appuie tout l’édifice d’une
construction sociale structurante.
Autant de vertus donc qui élèvent, fortifient, enracinent l’Homme dans
cette Tradition honnie qui contrarie tant le projet d’une société
néolibérale réduite à la gestion juridico-marchande d’une addition
d’égoïsmes concurrents. Autant de vertus qui freinent bien sûr
accessoirement l’accès du Marché au très juteux monopole de la
procréation.
Détachez l’homme de la femme, abattez la frontière non qui les sépare
mais qui les pousse dans les bras l’un de l’autre, nourrissez la
rivalité et la discorde entre eux, la corrosion, et c’est alors tout
l’ordre ancien qui bascule, laissant le champ absolument libre à
l’avènement d’une société monstrueuse et glacée faite d’individus
détachés de leur réalité, obsédés par eux-mêmes et donc livrés pieds et
poings liés au Marché.
La libération par le cul
La postmodernité aura donné un coup d’accélérateur phénoménal à
cette entreprise de séparation des hommes et des femmes.
Sous le masque habituel de la vertu progressiste si chère à la pègre
néolibérale dirigeante, la femme a ainsi été poussée à conduire une
guerre de conquête sans merci à une gent masculine trop heureuse de se
soumettre dans un premier temps. Il faut dire que la stratégie choisie
au tournant de la révolution bourgeoise de mai ’68, la libération par le
cul donc, avait de quoi susciter la curiosité d’un regard masculin
jusque-là habilement frustré.
Dans l’effervescence d’une époque qui s’était faite religion
d’interdire d’interdire et de
jouir de tout sans entraves,
la femme a ainsi été instrumentalisée et trompée pour servir les
intérêts du Marché désormais aux commandes.
Sous couvert de progrès social, elle fut donc rapidement amenée à
s’exposer, à s’exhiber, sommée de tout montrer, de tout dé-voiler (2)
sous l’impératif post-moderne et marchand de la surenchère
transgressive, impératif nécessaire à la stimulation sans fin du désir.
Une société crypto-pédophile
En quelques décennies, l’industrie de la «mode» a ainsi affublé les
femmes des accoutrements les plus «provocants», les plus courts, fins,
collants, moulant jusqu’à leurs plis et fentes les plus intimes ainsi
exposés au regard de tous, déclinant cette vulgarité y compris pour les
âges les plus tendres.
On notera au passage que cette surenchère a donc rapidement conduit à
sexualiser les enfants comme elle a conduit à infantiliser le corps de
la femme, notamment par une épilation intégrale devenue une autre marque
obligatoire d’émancipation
(pratique désormais quasi généralisée chez les hommes également).
Prétendument rétive à la pédophilie, la société occidentale en multiplie
pourtant les signes d’apologie avec une intensité qui devrait la
questionner, si le questionnement y était encore possible.
Et puis à l’exhibition forcée de cette femme 2.0
(pour faire moderne), s’est
conjugué un autre impératif post-soixante-huitard que permettait alors
la contraception: la libération de ses mœurs avec affirmation
obligatoire de ses appétits sexuels les plus débridés, appétits assortis
d’une exigence de jouissance sans appel. Une «révolution» accompagnée et
soutenue depuis dans un même élan par toute la caste dirigeante et sa
merdia-sphère. Quel titre de la presse dite «féminine» se risquerait par
exemple aujourd’hui à faire la moindre «une» sans un sujet sur le sexe,
sujet nécessairement abordé sous un angle transgressif: adultère,
pratiques déviantes, gadgets sexuels, culture porno etc...
Le porno, marqueur du progrès
social
Grâce à l’avènement d’internet, la culture porno est d’ailleurs
venue porter l’estocade dans les esprits déjà largement fragilisé par
cette mutation. Par ordinateurs, tablettes et smartphones interposés,
elle propage désormais y compris chez les enfants l’image d’une
sexualité réduite à un sport de combat sur le ring duquel l’homme ne
peut sortir que vidé, perdant, perdu, la queue entre les jambes donc,
renvoyé à sa naturelle faiblesse face à un «adversaire» anatomiquement
imbattable (3).
Le porno occupe ainsi une place de plus en plus importante dans
l’entreprise de destruction des rapports hommes-femmes. De marché de
niche, il est devenu produit de masse (4),
grappillant ses parts de marché aux heures de grande écoute,
s’imposant dans la mode, le cinéma et même les séries télévisées où se
multiplient les scènes les plus osées, encore hypocritement
«déconseillées au moins de 10
ans» aux travers de logos dont on ne sait pas très bien s’ils sont
dissuasifs ou incitatifs.
Faisant écho aux chaines musicales adolescentes ou le porno-soft est
devenu la norme (voir les clips
de rap notamment), les radios «jeunes» y vont bien sûr aussi de leur
contribution sous prétexte d’«éduquer», en proposant un discours de plus
en plus trash sur la sexualité, banalisant les pratiques les plus
extrêmes comme «fun», et relevant bien entendu de la seule «liberté» et
des goûts de chacun.
En réalité, tout est fait pour favoriser l’expansion d’une culture porno
devenu une sorte de marqueur du progrès social occidental.
Le porno, trash, soft, chic ou à tendance crypto-pédophile
(top-modèles de plus en plus
jeunes et dénudés), est désormais imposé partout dans la Cité par la
publicité ou les modes, inonde les foyers à travers le petit écran et/ou
internet, et s’est aussi rendu accessible aux plus jeunes grâce aux
smartphones. Au point que certains auteurs parle désormais de
pornocratie, la forme de gouvernement finalement
«la mieux adaptée à l’ère
ultralibérale en tant qu’elle utilise l’Etat résiduel [et ses
merdias] pour dispenser et
propager le commandement [ultime]:
Jouis !» (5)
Sauf que dans sa tentative d’érotiser le sadisme jusqu’à la nausée,
la culture porno est d’abord une culture de mort. Comme le dit si
justement Chris Hedges, «le
porno, comme le capitalisme mondial, c’est là où les êtres humains sont
envoyés pour mourir».
Le porno fonctionne en effet sur l’exact modèle des drogues dures, qui
imposent l’augmentation des doses et de la force du produit pour
produire l’excitation initiale toujours recherchée par le consommateur,
avec comme corollaire la banalisation de pratiques toujours plus
déviantes et dégradantes, toujours plus «spectaculaires», toujours plus
violentes (surtout pour les
femmes d’ailleurs), là encore sous l’impératif de la surenchère
transgressive inhérente à la gestion marketing du désir (6).
En deux décennies, la culture porno a fait remonter ses codes, ses
comportements et banalisé son sadisme dans le grand-public. La totale
liberté voulue par les «pouvoirs publics» pour l’industrie porno,
conjuguée aux «progrès» technologiques, a aussi permis aux pratiques les
plus délirantes de faire désormais partie du paysage mental «normal» des
jeunes d’aujourd’hui, au moment où ils construisent leur modèle sexuel.
L’âge du premier baiser est ainsi devenu celui de la première fellation (7),
et des psychologues sont maintenant appelés à la rescousse dans des
écoles pour des cas de fellations collectives (8).
Les viols d’enfants par d’autres enfants font même leur apparition (9).
Malgré tout, le porno reste «cool» dans nos sociétés occidentales
«libérées», et tout politicien qui prétend vouloir en questionner les
nuisances est dénoncé comme un puritain coincé ou un dangereux censeur
par les merdias pornocrates de la gauche libérale dominante.
Pour clore ce chapitre, on soulignera enfin que cette culture porno s’inscrit désormais dans un
phénomène d'obscénité généralisée qui touche d’autres
supports que le sexe. On peut ainsi parler de pornographie pour la musique
lorsqu’elle se résume, comme dans les rave party
d’Ibiza ou d’ailleurs, à une simple pulsation dont la seule fonction est
de permettre de «jouir en tas»,
selon la formule de Philippe Muray. De même, cette culture porno fait
également écho à la montée en puissance de cette pornographie de la mort
à laquelle on assiste dans nos sociétés où les cadavres, les
décapitations et autres boucheries de masse sont montrés désormais en
boucle sur tous les écrans possibles, ce qui conduit l’auteur de
La Cité perverse à noter
ingénument qu’il a dû «se passer
quelque chose dans le monde», car ce qu’on cachait hier, le sexe et
les cadavres, aujourd’hui «on les
montre. Cela s’exhibe».
On pourrait même conjecturer qu’il existe finalement une forme de
continuité entre l’industrie porno, Daesh et ses snuff-movies.
Le sexe est partout, mais il n’y
a plus de genre
Au milieu de toute cette poisse, la promotion de la théorie du
genre, de même que la surreprésentation (10)
des lobbies LGBTQ dans l’espace
public et les écoles (11)
(sous prétexte de lutte contre
les discriminations évidemment), achève de brouiller les derniers ou
plutôt les premiers repères des nouvelles générations.
L’hétérosexualité est ainsi en train de devenir un concept
«conservateur», has been,
voire rétrograde, qui n’est au mieux qu’une orientation parmi d’autres
forcément «cool» dont on ne manque pas d’assurer en permanence la
visibilité et la promotion tapageuses, y compris et même surtout auprès
des enfants désormais.
En Allemagne, sous la pression des associations LGBTQ, des collégiens
pourraient ainsi être invités à simuler des sodomies en cours (12).
De la demi-molle à l’impuissance
En toute logique, après des décennies d’exhibition, 20 ans de culture
porno à haute dose, d’impératifs de performances et de brouillage des
identités sexuelles, la lassitude et la crainte se sont progressivement
insinuées dans le regard d’un homme 2.0 plus que jamais désorienté.
A l’érection primesautière d’une époque de nudité vaguement joyeuse à
ses débuts, a donc tranquillement succédé la demi-molle d’une usure
teintée de crainte, préfigurant l’impuissance généralisée en marche.
Les consultations pour les problèmes de couples ont ainsi explosées,
comme le pourcentage de divorcés et de célibataires.
Aujourd’hui, au lieu de la découverte touchante et hésitante des corps
lors des premiers émois, des études montrent que l’usage du Viagra s’est
banalisé chez les jeunes mâles tétanisés par les exploits auxquels ils
se sentent contraints pour satisfaire les exigences supposées de leur
partenaire (13). Avec pour
conséquence que, de plus en plus, la femme postmoderne «libérée» devra
en réalité sa jouissance davantage à l’industrie pharmaceutique qu’au
réel désir de partenaires pour lesquels l’acte sexuel est peu à peu
ressenti comme une épreuve.
Cette pornocratie occidentale aura ainsi réussi à tout voler, à tout
violer de la femme sans coups férir, à lui imposer que la généreuse
visibilité et la disponibilité de son cul représentent de facto les
seules preuves recevables de son émancipation, lui volant jusqu’à
l’authenticité du désir qu’elle pense susciter, la renvoyant ainsi
probablement à la condition la plus dégradante qu’elle ait jamais connue
depuis l’aube des temps, et tout cela
à l’insu de son plein gré.
Quant aux hommes, à qui l’on demande de surcroît d’être aujourd’hui des
femmes comme les autres (14),
de plus en plus nombreux sont ceux qui cherchent leur salut dans
l’industrie pharmaceutique voire dans la poudre d’escampette, ou qui se
contentent désormais de pornographie en rêvant des progrès forcément
prometteurs de la robotique du plaisir.
L’objectif est donc à vue pour le Système.
Les rapports hommes-femmes deviennent de plus en compliqués, corrosifs,
et s’acheminent graduellement vers l’impossibilité, laissant la voie
libre au Marché pour s’intercaler définitivement entre eux, gérer leur
misère sexuelle et affective en leurs proposant comme palliatifs
l’excitation permanente, tournante et virevoltante de leur Ego,
excitation ponctuée comme il se doit d’actes
(d’orgasmes?) d’achat
répétés.
Conclusion
La guerre totale du Système contre la frontière sous toutes ses formes
visent à l’oblitération du monde ancien, à permettre l’infestation du
Vivant par le Marché et la technologie, à créer cette Grande Société
Unique composée de consommateurs nomadisés, atomisés et maladivement
égocentriques.
Dans cette immense entreprise de nivellement et d’anéantissement,
abattre la frontière entre les hommes et les femmes, les rendre
semblables et donc concurrents
«au point qu’il ne leur sera plus possible de s’aimer», vise
l’éclatement du corps social en brisant le lien premier, originel,
«traditionnel», qui cimente encore la société.
Une fois ce lien brisé, tout aura alors été aboli de l’ordre ancien, de
l’ordre naturel, et nous pourrons alors entrer dans cette ère de
glaciation (façon Gattaca) où
les rapports humains seront exclusivement fondés sur la gestion
juridico-marchande d’égoïsmes concurrents, y compris entre des genres
alors standardisés.
Ne restera plus à l’Homme que de s’en remettre à la pharma et à la Silicon
Valley, c’est-à-dire au Marché, pour lui greffer la sonde anale ultime
qui lui permettra de devenir enfin ce Surhomme photoshopé et
hyper-connecté, capable de surperformer
dans une réalité forcément augmentée, mais définitivement déshumanisée.
Mise en ligne par
entrefilets.com le 20 septembre 2016
1
"En 2050, les gens avec moins de 150 de QI ne serviront à rien"
2
Risquons-nous à proposer d’éclairer sous cet angle l’hystérie
anti-burkini qui agite les promoteurs de la laïcité, qui se trouvent
être aussi souvent ceux de la pornocratie. Car c’est un lieu commun de
dire que l’exhibition permanente tue le désir de l’objet exhibé. Et que
peut-être, confusément, inconsciemment, la pudeur d’un burkini leur fait
peut-être craindre moins une régression comme ils disent, qu’une
concurrence pour ainsi dire déloyale vis-à-vis de la femme «moderne»
exhibée en ce qu’il, le burkini, rallumerait soudain quelque chose
d’oublié dans le regard éteint de l’homme blasé, quelque chose qui
aurait à voir avec l’envie de mystère, l’envie de respect, la dignité,
bref, le désir, allez savoir...
3
La pornographie c’est ce à quoi ressemble la fin du monde (Chris Hedges
4
Comme le souligne Dany-Robert Dufour dans «La Cité perverse»,
l’industrie du porno et du para-porno génère aujourd’hui plus de
1000 milliards de dollars de revenus annuel dans le monde, soit plus que
l’armement et la pharma réunis. Il y a 420 millions de pages porno sur
internet, 4.2 millions de sites Web porno (12% du total), et 68 millions
de requêtes porno dans les moteurs de recherches chaque jour.
5 La Cité perverse,
Dany-Robert Dufour
6
Le porno postmoderne n’a plus rien à voir avec le porno de papa.
Surenchère transgressive oblige, ce sont les coups, étouffements,
dilatations, strangulations, triple-pénétrations, viols collectifs,
vomi, simulations de meurtres et autres délires que les actrices ne
peuvent parfois affronter que gavée de tranquillisants et/ou
d’analgésiques. C’est cela qui fleurit sur les smartphones de nos
enfants aujourd’hui.
7
L’âge du premier baiser devenu celui de la première fellation
8
Quand le porno éduque nos enfants
9
Il serait d’ailleurs intéressant qu’une étude évalue les effets de cette
culture porno généralisée sur cette frange d’individus qui, dans toutes
sociétés, sont affectés d’une disposition à l’extrême perversion
(comme les pédophiles par
exemple), et chez qui cette stimulation permanente doit certainement
favoriser le passage à l’acte. Combien d'enlèvements, de viols, de
meurtres?
10
En France par exemple, la proportion d’homosexuels est ultra-minoritaire
avec environ
1%
des hommes et femmes (0,6%
des couples),
alors que la question de l’homosexualité
(et par extension LGBTQ)
occupe une place inversement proportionnelle dans le débat sociétal, au
cinéma, dans les médias etc...
11
Quand le mouvement LGBT s’invite à l’école !
12
Allemagne : les collégiens devront-ils bientôt simuler des sodomies en
cours ?
13
Génération Viagra : 20 ou 30 ans et déjà addicts à la petite pilule
bleue
14
La
féminisation de la société
a certainement atteint l’un de ses sommets comiques lorsque, pour
protester contre les agressions sexuels de Cologne, les mâles allemands
ont pris le taureau par les corne et défilé....
en mini-jupes.